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  • Chatoune épilée

Quelques clichés de Chrystel

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Chrystel, Justine, les autres

Chrystel est ma compagne.
Elle est belle et libertine.

Justine m'accompagne.
Elle n'existe qu'en rêve.

Entrez dans notre univers.
Laissez vos commentaires.


histoireslib at hotm**l.fr

Mode d'emploi

Certains textes sont des récits de nos soirées de luxure, d'autres sont le fruit de mon imagination... voyez les catégories dans le menu de gauche pour choisir votre univers !
Mardi 9 mars 2 09 /03 /Mars 09:03
L'un est anglophone :
cuckolspace

L'autre, francophone est moins fourni :
forum-candaulisme


Les deux sont des communautés de partage sur le candaulisme, à destination des couples candauslistes et des "bulls" expérimentés ou en devenir...
Par David - Publié dans : Généralités / débats - Communauté : Couples candaulistes
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Lundi 8 mars 1 08 /03 /Mars 09:19
La visite d'un excellent blog m'a rappelé l'une des expériences intellectuelles fortes qui ont jalonné ma progression vers le libertinage : cette chanson de Gainsbourg dans "L'homme à la tête de chou". Appréciez !
Un soir qu'à l'improviste chtac
Je frappe à ma porte toc-toc,
Sans réponse je pousse le loqu
Et j'ecoute gemir le hamac,
Grincer les ressorts du paddock,
J'avance dans le black out,
Et mon kodak,
Impressione sur les plaques sensibles de mon cerveau
Une vision de claque,
Je sens mon rythme cardiaque qui passe brusquement à mac
Deux tic-tac, Tic-tac, Tic-tac, Tic-tac,
Comme sous un electro-choc,
Elle était entre deux macaques,
Du genre festival à Woodstock,
Et semblait une guitare rock à deux jacks,
L'un a son trou d'obus, l'autre a son trou de balle, crack,
Hey Doc, qui moi?, paranoïaque?,
Demandez donc un peu au vioque qui est portier de nuit,
Au Roxy Hotel si je debloque,
C'est là à jamais sur le bloc note de ma memoire,
Black sur white, et quoi que je fasse,
Ca me reviendra en flash back, bordel,
Jusqu'à ce que j'en claque.
Par David - Publié dans : Généralités / débats - Communauté : Couples candaulistes
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Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 13:29
Faute d'avoir pu prendre une photo de Chrystel en compagnie du superbe gode que je lui ai commandé (cf. Un nouveau jouet pour Chrystel ), tout simplement parce que ledit joujou n'a pas encore été livré, voici un cliché d'elle pris ce week-end... Commentaires bienvenus !
Chatoune épilée
La prochaine fois, j'espère que je pourrais exhiber sa chatte étroite avec le fameux braquemard noir... qu'en pensez-vous ?
Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle! - Communauté : Photos de nos épouses
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Mardi 26 janvier 2 26 /01 /Jan 13:20

Depuis quelques semaines, nous avions découvert le W.N., un petit club échangiste proche de chez nous, en même temps que nous avions épousé le monde du libertinage. Nous y allions le plus souvent les vendredis soirs puisque ces soirées là étaient « mixtes », ce qui signifie que l’établissement consentait à laisser rentrer des hommes non accompagnés pour satisfaire les couples adeptes de trios, quatuors ou autres formations à plusieurs. Pour notre part, nous avions commencé le libertinage par des trios avec des hommes et nous trouvions tous les deux notre bonheur dans ce type de configurations. Chrystel aimait se faire baiser par deux hommes entièrement dévoués à son plaisir et moi, au-delà du plaisir physique, j’aimais l’observer se faire draguer sur la piste de danse ou au bar par des bandes de copains entreprenants ou des célibataires séducteurs ; la voir céder sans aucune résistance aux avances parfois grossières de beaux gosses sûrs d’eux et de leur pouvoir de séduction m’excitait au plus haut point. Dans ces moments là, elle s’abandonnait totalement à son prédateur et je la trouvais diablement belle en proie facile. Ce soir là pourtant, les dragueurs n’étaient pas au goût de Chrystel. Bien sûr, elle a accepté des invitations à danser collé-serré, elle s’est fait caresser sa belle croupe parée d’une courte jupe par quelques partenaires de frotti-frotta gonflés à bloc, elle a essuyé des mains-au-cul plus ou moins anonymes, elle a accepté de bonne grâce quelques coupes de champagne et a papoté de longues minutes avec  des prétendants, mais elle n’a pas été séduite. Seuls à notre table assis dans des fauteuils, nous méditions sur le caractère aléatoire des rencontres en club échangiste et convînmes qu’il valait mieux ne pas se forcer à passer à l’acte à contrecœur sous prétexte de rentabiliser notre sortie en club. Tout en philosophant, nous scrutions les clients du club dans l’espoir de ne pas repartir bredouilles. De manière concomitante, nous remarquâmes un couple harmonieux qui vint s’asseoir deux tables plus loin, visiblement dans le même état de déception que le notre. Ils étaient un peu plus âgés que nous, probablement au milieu de la trentaine tous les deux. Nous les regardions discrètement et partagions nos avis sur eux. Lui était grand et assez baraqué, sérieux mais charismatique. Alors que je faisais remarquer à Chrystel que la fille grande et élancée était très sexy, elle me dit qu’elle la trouvait mignonne également et qu’elles s’étaient échangés des sourires complices, ce qui m’avait échappé. Je pensais à cet instant que cette affaire allait en rester là, convaincu que lui n’était pas au goût de Chrystel. Par-dessus le marché, nous n’avions jamais fricoté avec un couple. C’est alors que je croisais le regard de l’homme qui me fit un large sourire et souleva son verre en guise de salut. Je lui rendis son salut et Chrystel suggéra qu’on aille les rejoindre. Nous prîmes place à leurs côté et bavardâmes de choses et d’autres. Céline et Laurent avaient un peu plus d’expérience que nous dans le libertinage puisqu’ils avaient déjà rencontré quelques couples avec qui ils avaient pratiqué le « mélangisme », ce qui signifie qu’ils avaient batifolé sans aller jusqu’à la pénétration hors couple. Depuis, nous avons compris que les mélangistes sont pour la plupart des couples qui mettent l’accent sur les relations homosexuelles féminines, sans que ce soit pour autant une généralité, certains couples hétérosexuels souhaitant par cette pratique préserver le coït comme acte intime. A l’époque, ces subtilités nous échappaient largement. Quoi qu’il en soit, le courant passait très bien entre nous et nous discutions comme des copains de longue date sur des sujets variés et parfois coquin. Laurent, effectivement très sûr de lui, avait presque dix ans de plus que nous. Céline était également un peu plus âgée et avait un aplomb assez rare. D’après leurs dires, c’est elle qui avait convaincu Laurent de faire l’expérience du libertinage.

Tout en tenant la conversation, Laurent avait entrepris de caresser la cuisse de Chrystel qui était assise sur la même banquette à côté de lui. Afin de lui faciliter la tache, elle se blottit contre lui en continuant elle aussi à converser comme si de rien n’était. Céline, devinant mon émoi, profita d’un silence pour se tourner vers moi et m’embrasser à pleine bouche. Elle embrassait avec fougue : sa langue envahit brutalement ma bouche et en explora les moindres recoins. Chrystel offrit alors ses lèvres à laurent dont une main explorait dorénavant son entrejambe. Elle écartait ses cuisses pour lui laisser le champ libre, comme certaines fleurs s’ouvrent pour accueillir le soleil. Je fis de même avec Céline et, tirant sa dentelle de côté, constatais que sa chatte poilue elle était trempée. Rapidement, Céline qui décidément avait un tempérament de meneuse, suggéra que nous allions poursuivre notre conversation à l’étage où l’ambiance était beaucoup plus intimiste : lumière tamisée, alcôves, cellule à barreaux, cabines de bateaux, voyeurs, gémissements… dès la montée des marches de l’escalier menant au premier étage, les choses étaient claires pour tout le monde : Laurent soulevait la jupe de Chrystel, opportunément passée devant lui, pour caresser ses fesses ; Céline et moi, enlacés, nous embrassions comme deux jeunes tourtereaux. Bien que très compréhensifs, nous repoussions les sollicitations de quelques voyeurs surexcités pour atteindre notre but, un salon inoccupé. Nous en trouvions un d’une taille correcte qui, comme la plupart des salons du W.N., était fermé par une porte mais doté de hublots aménagés dans la paroi de sorte que les clients du club pouvaient deviner ce qui se passait dans la pénombre de la pièce. Etait-ce l’heure avancée, les quelques coupes de champagne bues durant la soirée ou tout simplement l’excitation, ce détail ne semblait gêner personne. Chrystel se laissa tomber à la renverse sur le matelas en Skye rouge ; debout devant elle,  Laurent la toisait en retirant sa chemise. Céline, assise à califourchon sur moi, m’embrassait de plus belle alors que je lui pelotais les fesses, les mains dans sa culotte. A cet instant, je commençais sérieusement à me poser des questions car cette fille m’excitait, mais je ne bandais pas. Laurent avait retiré le shorty en dentelles de Chrystel et lui écartait les jambes, à genoux devant le matelas. Il lui bouffait sa chatte rasée avec avidité, lui arrachant de petits gémissements qui allaient crescendo. Moi, comme un con, je commençais à avoir peur de ne pas arriver à baiser Céline. Inspirée par Chrystel et Laurent, Je me dis alors que goûter sa chatte trempée pouvait être un bon moyen de réveiller la bête de sexe qui sommeillait profondément en moi et lui délivrais un cunnilingus haut de gamme qui la fit rapidement monter dans les tours. Pendant ce temps, Laurent était monté à genoux sur le matelas, avait retiré son jean et sorti sa bite au niveau du visage de Chrystel qui, se tournant légèrement sur le côté, l’avait pris en bouche. Il avait une queue à son image : grande, épaisse et raide. Elle s’en délectait. Céline et moi étions partis dans un 69 de la dernière chance qui me donna un peu de vigueur lorsque Chrystel se mit à quatre pattes pour pourvoir mieux sucer Laurent qui y prenait visiblement beaucoup de plaisir. Avec toujours beaucoup d’assurance, il interrompit la fellation pour aller chercher un préservatif dans une poche de son jean puis revint vers Chrystel. Elle reprit sa sucette pendant qu’il s’employait à sortir le caoutchouc de l’aluminium. Sans fioritures, il se positionna alors derrière elle, enfila la capote et la pénétra doucement. Les expressions que je lisais sur le visage de Chrystel m’excitaient bien que la scène me rendît fou de jalousie. La connaissant par cœur, je voyais bien qu’elle prenait un plaisir indescriptible malgré la gêne occasionnée par un certain manque de préparation initial de sa chatte à cet assaut à revers par une belle bite emplastiquée. A mon tour, je chaussais un préservatif sur ma queue à demi bandée et m’empressais de pénétrer Céline en missionnaire avant que l’étreinte de la capote ne fasse refluer le peu de sang qui daignait gorger mon corps caverneux. Je parvenais toutefois à mes fins assez facilement tant Céline était ouverte et humide. Comme bien souvent dans ces cas là, ma mauvaise érection alla de pair avec un manque total d’endurance. Très rapidement, je compris que je ne serais pas un bon amant ce soir là ce qui dans le contexte me ficha un coup au moral. Laurent, très endurant et froid, baisait patiemment Chrystel avec des mouvements amples et réguliers dans sa chatte, faisant claquer son bassin contre ses fesses. Au bout de quelques minutes et après avoir changé trois fois de position pour donner le change, je n’en pouvais plus et déversais mon sperme dans la capote que je m’empressais de retirer du vagin de céline pour éviter l’accident. Celle-ci, très compréhensive, me  caressait et essayait de me réconforter tant bien que mal mais je vivais très mal la vision de Laurent qui faisait dorénavant gémir ma compagne en la baisant en levrette, comme elle aime, sans montrer le moindre signe de fatigue. Elle avait dorénavant posé ses épaules contre le matelas pour mieux offrir ses fesses et pouvoir se masturber le clitoris et lui accélérait la cadence en agrippant ses flancs afin de faire coulisser son chibre le plus loin possible. Chrystel gémissait de plus en plus fort et son visage s’était empourpré. Céline me fit remarquer son état et me suggéra d’aller la caresser, ce que bêtement je ne fis pas, égoïstement renfermé dans ce qui ressemblait bel et bien à une vexation. Céline, en revanche, n’avait pas d’états d’âme et n’avait clairement pas eu son compte jusqu’alors. Elle se rapprocha de Chrystel et lui caressa doucement les cheveux. C’est alors que très sûre d’elle-même, elle se pencha et prodigua à Chrystel un de ses baisers fous que j’avais expérimentés quelques minutes auparavant.  Chrystel gémissait de plus belle alors que Laurent, impassible, avait légèrement diminué le rythme pour laisser les deux belles s’embrasser en douceur. Céline, un brin perverse, demanda à Chrystel si son homme la baisait bien. Dans mon coin, j’observais la scène et entendis mon amour répondre par l’affirmative, d’une voix haletante. Tenant Chrystel par la nuque, Céline lui susurra qu’elle était très belle, encore plus belle quand elle se faisait baiser. Elle lui caressa le dos, les fesses, puis lui asséna une petite tape sur le haut du postérieur avant de s’asseoir jambes écartées devant elle. De sa main droite à nouveau positionnée derrière sa nuque, elle attira la bouche de ma compagne sur sa chatte ruisselante. Rouge écarlate mais pas vraiment surprise, Chrystel brouta avidement la vulve velue et gluante de Céline. De manière concomitante, elle se mit à gémir très fort et Laurent comprit qu’il devait accélérer la cadence pour l’achever, encouragé en cela par le langage cru de Céline qui lui suggérait de « bien la baiser ». Chrystel ne tarda pas à venir et Céline la cajola dans ses bras pendant qu’elle suçait Laurent pour le faire jouir dans sa bouche. Terminer de cette manière n’était pourtant pas dans les plans de Laurent, qui baisa sa femme en règle alors qu’elle et Chrystel continuaient à se faire des papouilles. Il vint assez rapidement alors qu’elle était plus affairée à embrasser Chrystel à qu’à se concentrer sur la queue qui allait et venait dans son vagin. Nous retournâmes ensuite boire un verre dans les salons du club et convînmes de nous revoir. Nous nous revîmes effectivement quelques semaines après pour une soirée libertine dans un autre club de la région, au cours de laquelle Céline se contenta de regarder Chrystel se faire baiser en trio par son mari et moi. Nous avons aussi passé quelques après-midi ensemble à nous balader avec les enfants, en bons amis. Leur déménagement a malheureusement sonné le glas de cette amitié libertine bien sympathique.

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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Mardi 19 janvier 2 19 /01 /Jan 08:59

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Le Père Noël n'y ayant pas pensé, je me suis permis de commander un nouveau "petit" joujou pour Chrystel, ce magnifique braquemard factice, option "black"... factice ne signifie pas inefficace ! Nous le vérifierons lorsque nous l'aurons reçu. La couleur noire manquait à sa collection pourtant déjà bien fournie Effet de surprise garanti, puisqu'elle n'a jamais tâté du bâton d'ébène...
Pour voir les caractéristiques de ce bel outil, cf. le lien suivant :
link
Par David - Publié dans : Généralités / débats - Communauté : Couples candaulistes
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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 12:24

Abricot prêt à être cueilli
Abricot prêt à être cueilli

 

Je les aime bien juteux... pas vous ?


par David

Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle! - Communauté : Photos de nos épouses
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Mardi 12 janvier 2 12 /01 /Jan 16:39
IMG 7553 NB HL reduite nouvel an

Que l'année 2010 vous soit douce et torride à la fois ! Carpe diem !
Par David - Publié dans : Photos de nous... enfin, surtout d'elle! - Communauté : Photos de nos épouses
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Jeudi 22 octobre 4 22 /10 /Oct 01:08

Un soir en club libertin, ma femme, 27 ans à l'époque, se fit draguer de façon très directe par un homme de 20 ans de plus que nous connaissions un peu par l’entremise de sa complice libertine de l’époque et qui était un habitué des lieux. Il était séducteur, grivois et n'hésitait pas à la peloter de manière tonitruante... je suscitai une pause dans ce petit jeu et lui fis remarquer que c'était un goujat et qu'il était trop vieux (elle ne fréquente habituellement que les hommes de son âge). Elle rit et me dit qu'il était beau, marrant et très bien conservé... malgré ma réticence visible, il reprit son manège, encouragé par ma femme qui était visiblement très réceptive. Il l'invita alors à prendre un verre au bar et moi, bien sûr, je les accompagnai. Elle était installée entre nous deux et, profitant de la position imposée à ma chérie par les tabourets de bar, il caressait ses cuisses tout en ne cessant ses palabres à aucun instant, les yeux rivés sur elle. Très décomplexé et à mon sens très lourd, il la complimentait sur ses bas noirs et sa culotte qu'il lui demanda de dévoiler davantage, ce qu'elle fit avec une bonne humeur consternante à mes yeux en écartant ses jambes et en le laissant remonter sa déjà courte robe. Entre deux gorgées de champagne et durant un flot continu de compliments, il lui titillait la chatte à travers le tissu, puis très directement une fois celui-ci mis de côté. Elle était alors entièrement tournée vers lui, toujours assise sur son tabouret, mais me tournant le dos et jambes écartées. Il lui baissa alors le haut de sa robe en dessous de la poitrine et lui malaxa les seins, ce qui finit d'attirer l'attention des autres personnes accoudées au comptoir, goguenardes. J'étais pétrifié par la jalousie, la gêne et l'incompréhension, lorsqu'il sortit sa bite entre deux paroles banales et prit ma femme par la nuque pour l'attirer dessus. Devant tout le monde et les seins à l'air, elle descendit de son tabouret, s'accroupit et suça avec avidité sa bite encore molle. Se faisant très directif, il la guidait sur sa queue durcie et se livrait, toujours dans la bonne humeur, à des commentaires outranciers du type : « Ah elle est bonne ma queue petite salope, hein !? » ou encore « Oh mais c’est qu’elle suce divinement la cochonne ! ». Bref pas une phrase sans qu’il ne la qualifie de salope ou de cochonne en s’adressant un peu à elle et beaucoup à l’assistance, sur le ton il est vrai de la rigolade. Personnellement, je n’appréciais pas trop son humour et en même temps, en bon candauliste que je suis, j'étais très excité par la scène. Elle, loin de mal prendre ses paroles,  elle suçait, riait et lui confirmait que sa queue était bonne…

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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Mardi 20 octobre 2 20 /10 /Oct 11:20
Salut à vous chers coquins libertins ou fantasmeurs n'ayant pas peur des lettres et qui visitez ce blog !
Je vous invite à me laisser vos commentaires, si mon blog vous plaît... Au delà du fait qu'ils constituent un encouragement pour le blogueur, ils peuvent également susciter de nouveau récits ou être le point de départ d'une conversation ici ou sur msn... alors à vos claviers !!!!

Par David - Publié dans : Généralités / débats
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Vendredi 22 mai 5 22 /05 /Mai 09:24

Histoire vécue... laissez vos coms, ça fait toujours plaisir !


Quelques mois après le début de notre relation et alors que nous étions encore étudiants, Chrystel et moi avons passé une semaine de vacances en Tunisie, dans un hôtel-club du côté de Djerba. La douceur proverbiale de cette région du Maghreb et le prix modéré du séjour ont été les principaux éléments de notre choix concernant la destination de nos vacances de printemps. Au delà des paysages et de la douceur de vivre, nous avons découvert un aspect inconnu de nous jusqu'alors de la culture locale : la propension démesurée de certains jeunes autochtones à draguer les occidentales, fussent-elles accompagnées de leur mari ou de leur compagnon.

Cela a commencé dès le premier jour, alors que nous sortîmes de l'hôtel, situé en bord de mer, pour visiter le village contre lequel il était adossé. En fait de village, il s'agissait plutôt d'un groupement de maisons abritant essentiellement des échoppes de souvenirs ou autres produits de l'artisanat local, des épiceries et des restaurants. Chrystel, consciente du trouble qu'elle pourrait causer en s'habillant comme une occidentale en été sur la Côte d'Azur, avait revêtu une jupe longue afin de cacher ses jambes, ainsi qu'un banal T-shirt, à emmanchures américaines il est vrai. Les échoppes étaient toutes tenues par des hommes, jeunes pour la plupart, qui nous haranguaient à notre passage. Parfois nous entrions, parfois nous refusions poliment les sollicitations, avec le sourire. Très vite, nous nous sentîmes pourtant mal à l'aise à cause des regards qui se portaient sur Chrystel une fois que nous avions le dos tourné, et de ce que nous supposions être des commentaires grivois en arabe accompagnés de rires. Il en fallait plus pour nous décourager et nous décidâmes pour échapper à cette atmosphère d'accepter l'invitation à boire le thé à la menthe d'un marchand de tapis, bien que nous lui signifiâmes d'emblée que nous n'avions pas la moindre intention de ramener un tapis en France. Bien mal nous en prit : après trois thés à la menthe et moult compliments échangés sur la qualité de ses tapis et la beauté de Chrystel, le jeune marchand ne comprit pas que nous repartions sans rien acheter. L'ambiance était tendue et nous regagnâmes l'hôtel alors que l'attitude des marchands sur notre passage était exacerbée par notre mésaventure.

Le lendemain, nous partîmes en excursion dans une petite ville aux portes du désert. Profitant d'un quartier libre donné au groupe, nous décidâmes de déambuler dans les rues et sur la place principale où se tenait un marché alimentaire. L'endroit était pittoresque et les étals appétissants. Nous achetâmes des épices en quantité beaucoup trop importante et humâmes la menthe fraîche. Soudain, alors que la foule s'était faite plus dense, Chrystel me déclara ébahie que quelqu'un venait de lui mettre une main aux fesses. Je lui répondis que ce n'était pas bien grave, que ce n'était pas la première ni la dernière fois que ça lui arriverait et que ses fesses s'en remettraient. Elle me répondit qu'elle avait compris que ce n'était pas la première fois que cela lui arrivait dans ce lieu, mais qu'elle avait attribué ceci à des frottements involontaires jusqu'alors. Cette fois-ci, cela ne faisait plus aucun doute et il ne s'agissait pas d'une petite flatterie anodine : quelqu’un s'était posté derrière elle et lui avait proprement malaxé le cul avant de s'éclipser parmi la foule. Elle avait cru apercevoir le coupable de dos, vêtu d'une djellaba traditionnelle et s'éloignant à grands pas, mais elle ne pouvait pas être formelle. Nous étions à la fois sidérés et incrédules. Je décidais par précaution autant que par curiosité de rester systématiquement derrière Chrystel, de manière à démasquer le sérial-peloteur et ses complices. Au bout de quelques minutes, je vis un jeune homme se poster furtivement derrière Chrystel en faisant mine de regarder par dessus son épaule l'étal sur lequel elle était penchée. Son attitude me parut normale mais Chrystel se retourna et me dit que cela venait de recommencer, alors que l'homme avait déjà disparu dans la foule. Pas de doutes, compte tenu de la diversité des profils des coupables présumés, le massage d'une bonne paire de fesses de touriste était une coutume répandue chez les représentants de la gente masculine locale. Nous regagnâmes le groupe en nous disant que lors des prochaines excursions, Chrystel devrait se vêtir d'une manière encore plus sage, quitte à mettre un pull sur ses épaules malgré la chaleur déjà présente en cette fin d'avril.

A l'hôtel, Chrystel se faisait draguer ouvertement par un jeune et sympathique gérant d'une boutique de souvenirs qui s'ennuyait à mourir compte tenu de la rareté des clients. A chaque fois que nous passions devant sa boutique située au rez-de-chaussée du bâtiment principal, c'est-à-dire en gros à chaque fois que nous quittions ou que nous regagnions notre chambre, il l'alpaguait et cherchait à entamer une conversation. Chrystel, très sociable, se laissait prendre au jeu même si elle devait prendre régulièrement quelques minutes pour cela. Ce qui était frappant dans la démarche de ce charmant jeune homme, c'est qu'il ne s'adressait pratiquement qu'à elle, malgré l'absence totale de réaction hostile de ma part. L'épisode des mains aux fesses m'avait en effet renforcé dans ma conviction qu'il était inutile de s'énerver contre ce type d'attitude désobligeante. Bien sûr, il était rageant de constater que ces hommes se permettaient avec les européennes des comportements socialement prohibés avec les tunisiennes : cela en disait long sur la perception qu'ils avaient de la femme occidentale, probablement réputée libérée et facile. Le plus étonnant, c'est que le fait que la femme soit en couple n'était pas de nature à calmer les ardeurs.

L'avant dernier jour de notre voyage, nous décidâmes d'aller faire du shopping à Houmt Souk, la principale ville de Djerba. Là, nous fumes rapidement accostés par un jeune homme sympa nous proposant de nous guider dans nos achats parmi les échoppes. D’ordinaire, nous rejetons ce genre de propositions qui s’avèrent souvent vénales d’une manière ou d’une autre. Mais cette fois-ci, nous avions pour objectif de ramener des bijoux en argent en France et nous ne trouvions pas les échoppes des bijoutiers dans le souk. Après l’avoir averti que nous ne lui donnerions pas d’argent, nous acceptâmes qu’il devienne notre guide. Il était enjoué et avait de la conversation. Il nous emmena dans différentes échoppes de bijoux berbères et restait en retrait durant les négociations. Petit à petit, les réticences s’estompèrent et une certaine complicité se créa entre nous trois. Je remarquais cependant rapidement qu’il parlait presque uniquement à Chrystel et qu’il faisait en sorte d’être toujours à ses côtés dans les magasins ou dans les ruelles du souk. Il la prenait par l’épaule, lui caressant au passage son bras dénudé, ou par la taille. Au fur et à mesure que nous progressions dans nos achats, il se faisait plus familier. Il avait manifestement une certaine fierté à se promener dans le souk avec Chrystel à ses côtés. Parfois, il échangeait quelques paroles et des regards complices avec des marchands parmi ses connaissances. La situation, troublante, commençait à m’agacer. J’essayais de mettre un terme à notre escapade, mais il nous proposa de prendre un thé à la menthe à la terrasse d’un café. Comme il insista lourdement, nous finîmes par accepter. La conversation était plaisante ; nous parlions de la condition des femmes en Tunisie, puis il nous fit part des difficultés que rencontrent les jeunes hommes pour débuter dans la vie étant donné que pour pouvoir se marier, il faut avoir les moyens de posséder une maison… il enviait les européens sur ce plan et remarquait que les femmes françaises ou allemandes étaient très libérées. Puis il nous apprit qu’il avait régulièrement des maîtresses européennes, qui lui offraient des cadeaux ou lui envoyaient un peu d’argent une fois rentrées dans leur pays. A l’époque, il en avait trois simultanément. Il nous expliqua que de nombreuses femmes venaient à Djerba pour profiter de la vigueur des jeunes hommes locaux. Comme je m’en étonnais, il insista en nous disant que les tunisiens savaient particulièrement bien faire l’amour, mieux que les européens, et qu’ils étaient bien montés. Il lançait des regards avides sur Chrystel qui ne laissait planer aucun doute sur où il voulait en venir… elle n’était pas du tout choquée ni effarouchée par ses propos. Curieuse, elle relançait régulièrement la conversation. Avant de rejoindre notre hôtel, nous voulions acheter des bières, ce qui n’est pas chose facile en Tunisie. Notre ami nous accompagna chez un revendeur clandestin d’alcool et sur le chemin, alors que j’étais quelques pas devant eux deux, il colla Chrystel comme jamais, lui parlant à l’oreille et lui enlaçant la taille… je suppose qu’ils continuaient la conversation que nous avions commencé au café. J’étais mal à l’aise et un peu atteint dans mon amour propre, mais je ne pus alors m’empêcher de penser à ce type en train de baiser ma nana, avec son « savoir faire tunisien » et sa grosse queue. L’idée m’excita, mais ni elle ni moi n’étions prêts à jouer le jeu. Ce sont néanmoins ces situations vécues qui nous ont conduites plus tard à franchir le pas des trios et du candaulisme. Cette fois là, nous quittâmes poliment notre complice et regagnâmes sagement notre hôtel.

 

Par David - Publié dans : Mes aventures libertines - Communauté : Couples candaulistes
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